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Publié Le 11 mai, 2025 2:13 pm

Steve Jobs avait identifié le signe n°1 qui permet de repérer un mauvais  manager (une personne sans leadership)

Steve Jobs, figure emblématique de l’innovation et du leadership, a laissé un héritage marquant dans le monde de la technologie. Fondateur visionnaire d’Apple, il a toujours mis un point d’honneur à développer le potentiel de ses collaborateurs. L’une de ses citations les plus marquantes, issue d’une interview accordée à Fortune il y a près de vingt ans, révèle son approche du leadership, comme le rappelle INC.

« Mon travail consiste à ne pas être facile avec les gens. Mon travail consiste à les rendre meilleurs ». Pour Steve Jobs, un bon leader ne cherche pas à complaire à son équipe, mais plutôt à la développer. L’absence de cette approche est justement le signe distinctif d’un mauvais manager. Lorsqu’un dirigeant n’investit pas dans l’amélioration de ses collaborateurs, il manque de leadership et risque de nuire à la performance globale de l’organisation.

 

L’importance d’un leadership exigeant

Steve Jobs considérait que l’un des rôles essentiels d’un manager était d’aider ses employés à repousser leurs limites et à croire en leurs propres capacités. Il estimait que la croissance passait par la remise en question, le dépassement de soi et un haut niveau d’exigence. Cependant, cette approche, mal appliquée, peut rapidement basculer vers une gestion toxique.

Les mauvais managers se distinguent par leur incapacité à élever leurs équipes. Ils se contentent souvent de donner des directives sans fournir le soutien nécessaire à leur exécution. À l’inverse, Steve Jobs pensait qu’il était crucial de définir des attentes claires, d’offrir un accompagnement et de doter ses collaborateurs des moyens de réussir.

 

Les trois piliers d’un bon leadership selon Steve Jobs

Pour éviter de tomber dans les travers du mauvais management, trois principes doivent être appliqués. Premièrement, clarifier les attentes. Un manager efficace doit toujours expliquer pourquoi il met la barre haut. Lorsqu’un employé comprend que l’exigence n’est pas arbitraire mais vise à le faire progresser, il est plus enclin à relever le défi. La transparence sur les objectifs et les résultats attendus est essentielle pour motiver et engager les équipes. Ensuite, offrir soutien et encouragement. Si un manager se contente d’exiger sans accompagner, il risque de créer un climat anxiogène et contre-productif. Steve Jobs savait que pour obtenir le meilleur de ses collaborateurs, il devait les aider à surmonter les obstacles. Cela passe par un feedback honnête et régulier, ainsi que par la mise à disposition des outils et des ressources nécessaires à leur succès.

 

Enfin, diriger avec le bon équilibre. Le style de leadership de Steve Jobs était exigeant, mais il pouvait conduire à des résultats exceptionnels lorsqu’il était bien appliqué. La clé réside dans un juste équilibre entre challenge et bienveillance. Pousser les employés à exceller ne doit pas se faire au détriment de leur bien-être. L’empathie et le respect doivent accompagner l’exigence. Les principes de Steve Jobs sont aujourd’hui encore largement appliqués dans le monde du travail. Un bon leader ne se limite pas à donner des directives ; il inspire, motive et accompagne ses équipes vers l’excellence. Et comme disait Antoine de Saint-Exupéry : « Si tu veux construire un bateau, ne rassemble pas tes hommes et femmes pour leur donner des ordres, pour expliquer chaque détail, pour leur dire où trouver chaque chose… Si tu veux construire un bateau, fais naître dans le cœur de tes hommes et femmes le désir de la mer ».

avec au feminin

 




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