En échange, ils reçoivent une prime proportionnelle à la gravité du problème découvert. Pour les entreprises, c’est une soupape essentielle : mieux vaut récompenser un découvreur honnête que de voir la faille revendue sur le marché gris, où elle pourrait servir à la prolifération d’outils de surveillance, des malwares ou des opérations de piratage.
Un exemple concret évoqué par Google est une injection de commande détournée capable de pousser un appareil Google Home à exécuter une action sans confirmation — comme déverrouiller une porte. À l’autre bout de l’échelle (niveau A6), on trouve les attaques de type « déni de service inter-utilisateurs ».